Nom: Cortes
Prénom: Maëvanne
Surnom: Maë
Âge: 19 ans
A quel groupe appartenez-vous?: Pirate
Travail: Vigile sur La Rose Blanche
Caractère: Maëvanne est la fou du roi du bateau. Que la tempête menace leur embarcation ou que le soleil brûle la peau des matelots sur le pont, la jeune femme a toujours le sourire auc lèvres et une nouvelle blagues de marin pour faire rire tout le monde. Dû à sa jeunesse, elle est une des plus jeunes gens qui naviguent grâce à La Rose Blanche, elle ne tient jamais en place très longtemps. Elle est toujours assise dans les cordages à se laisser balancer par le vent ou bien dans le petit compartiment qui est la vigie. Très à l'aise dans ce monde d'hommes, elle aime bien taquiner ses compagnons. Mais attention, si elle s'amuse avec eux, tout le monde sur le bateau savent qu'elle n'était pas une de ses catins de bateau. Et puis, avec tous les couteaux qu'elle cache sous ses vêtements, la plupart sont prudents. Elle en profite quelques fois pour faire tourner les têtes quand elle passe, mais c'est toujours pour s'amuser à leur dépend. Maë prend par contre son travail très à coeur. Consciente que le capitaine ne l'a pas engagé juste pour amuser les matelots, elle devient sérieuse et minutieuse. Grâce à elle, ils ont pu éviter plusieurs rochers traîtres et avec ça, le naufrage du bateau. Elle se cache souvent dans l'humour pour gâcher ses réel sentiments. Elle est pourtant une femme douce et compréhensive. Elle a aussi peur de s'attacher aux gens, croyant que la plupart du temps, ils se retourneront contre elle. Il n'y a qu'à ses compagnons sur le bateau qu'elle réussi à croire à quelqu'une de leurs promesses.
Physique: Maëvanne est une belle rousse aux cheveux courts et frisées. D'origine Espagnole et Française, elle a hérité de la peau cuivrée de ses ancêtres d'Espagne en plus du soleil qui lui tape sur la tête à longueur de journée. Elle a de belles lèvres charnues, de grands yeux noisettes et de magnifiques traits qui feraient tourner bien des têtes. Elle s'habille de façon un peu provocatrice, de l'avis de quelques loups de mers un peu trop affamés pour regarder autre chose. En fait, la jeune femme ne pense pas aux regards masculins. Elle ne porte jamais des vêtements de femmes, préférant les chemises et les pantalons, plus pratique pour son travail. Elle porte en permanance un chapeau pris sur le premier homme qui avait goûté à ses couteaux en plus de gants pour empêcher les cordes d'abimer ses mains fines et douces.
Signes particuliers: - Elle a un léger accent parce que sa langue maternelle est l'espagnol. Elle a appris le français plus tard dans sa vie. Elle utilise quelques fois des expressions espagnoles.
Armes: Huit couteaux cachés sur son corps et une rapière qu'elle utilise en combat rapproché
Histoire: Je n'ai pas eu une enfance normale comme la plupart de enfants. Mon père était un marin, un corsaire français chargée de surveiller les allées et venues des pirates. Ma mère, elle, était une acrobate d'un cirque itinérant. Un jour, le bateau de mon père accosta dans la même ville que le cirque de ma mère et Paf! : Je suis arrivée sans s'être voulue.
Mon père, en parfait gentleman, se sauva dès qu'il apprit que sa maîtresse était enceinte de lui. En fait, il profitait de ses escapades pour tromper sa femme. Ma mère dû donc élever dans un climat de fêtes et voyages, entourée de cracheurs de feu, de jongleurs et de magiciens de tous genre. J'étais la préférée du groupe, celle qui leur faisait oublier leurs tristes jours. Quand je fut capable de marcher et de courir, ma mère, une catin espagnole qui avait trouvé refuge dans ce cirque, m'appris les trucs de l'acrobatie. Déjà quelques semaines, et déjà, je grimpais partout en risquant ma vie malgré les avertissements de ma mère. Je toujours aimé le risque et cela n'a pas changé avec le temps. Jusqu'à mes 15 ans, je fis des spectacles partout dans les diverses villes de l'archipel. Ma mère succomba alors à une tuberculose et, lasse des jeux de cirque, je décidai de suivre les traces de mon père, le fameux corsaire. Les premières fois, je me cachai dans les cales pour vivre mes aventures. Mais lorsqu'un matelot me trouva derrière un baril de rhum et qu'on m'emmena au capitaine, je commençai alors ma vraie vie de pirate. Pour ne pas m'avoir dans les pattes toute la journée jusqu'à ce qu'il retourne sur la terre ferme, on m'installa à la vigie et je passais mes journées. C'est à cette endroit que j'eu la piqure des grandes étendues bleues et de la liberté qui allait avec. Pourquoi rester dans le moule alors que j'avais la chance de faire ma place où les lois n'existaient pas? J'ai passé deux ans sur La Perle De Madrid avant de retourner à terre. Je ne voulais pas être corsaire comme mon père, mais un pirate respecté de tous. J'avais appris à manier la lame et les couteaux pour me défendre grâce aux hommes de l'équipage. Il ne me restait plus qu'un capitaine assez fou pour engager une adolescente de 16 ans. Ce capitaine, c'est en Sergeï Flerick que le trouvais. Beau garçon et sympathique, il m'engagea sans hésitation pour me donne le poste qui avait fait de moi une fille de la mer: Vigile. Celui qui m'avait précédait était tombé par dessus bord dans une tempête. Le Capitaine ne doit pas regretter son choix parce que cela fait 3 ans que je m'amuse comme une folle sur La Rose Blanche.
Autres: 
Lun 27 Juil - 22:07
