Salle d'eau

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

La jeune femme l'affubla encore d'une caresse sur le ventre. Dans certaine maison close qu'il avait fréquenté, le service s'arrêtait lorsque l'homme avait joui et la catin ne prêtait ensuite pas plus d'intérêt à son client que s'il avait été invisible. Le service était vraiment irréprochable. Il caressa sa nuque couverte d'une fine couche de sueur et sourit, satisfait qu'elle l'accompagne jusqu'à la salle d'eau.

La suivant dans le couloir, sa main vînt se poser sur sa hanche délicate qu'il ne quitta que lorsqu'elle le laissa entrer le premier. Rien de bien exceptionnel dans le mobilier de ce bordel. Si les filles étaient des déesses de la luxure, tout le reste était plutôt désuet. Il s'avança sur le parquet gondolant. Dans le coin de la pièce se trouvait une grande baignoire de cuivre ronde en forme de bol, paré d'un long drap ocre qui en couvrait le fond. Un meuble de bois creusé était posé non loin pour porter des savons colorés et autres perles de bains parfumés.

Sergeï se retourna et vînt cueillir les lèvres de sa belle catin avant de parcourir les quelques trois mètres qui le séparait de la baignoire. Il se pencha au dessus, venant serrer la poignée par laquelle l'eau devait s'écouler et il commença la pompe. Le système de la maison était ingénieux, l'eau de pluie récolté dans une grande barrique à l'extérieur de la maison était dirigé dans un conduit réguler par une valve, proche du conduit de cheminée des cuisines. L'eau se réchauffant d'elle-même.

Le Capitaine pompa quelques instants dans le vide avant qu'un filet d'eau ne daigne couler dans la baignoire. Il réitéra plus d'une centaine de fois le mouvement de son bras à une allure cadencée jusqu'à ce que le niveau de l'eau lui convienne. Il enjamba le bord et s'y immergea en un long soupir satisfait. Sa main se tendit vers Emilia.

_ Viens!

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Émilia entra dans la salle à sa suite du capitaine. Cette prolongation n’était pas nécessairement très encouragée par la patronne, mais elle ne l’avait jamais vraiment interdit non plus. ‘’Fallait seulement que ça devienne pas une habitude.’’ Pour elle ce n'était pas vraiment une habitude. Plutôt une exception, parce qu'elle en avait eut envie, sans s'occuper de se demander pourquoi. Personne ne la blâmerait donc. Sauf Henry parce qu’elle ne serait pas là pour l’aider à couper les légumes pour la soupe… mais il pouvait bien demander à une autre des catins pour une fois.

Elle tendit les lèvres pour recevoir se baiser presque chaste si l’on comparait à leurs ébats quelques minutes avant. Une nonne en serait quand même rester scandaliser et serait devenue aveugle sur le champ, mais une nonne ne serait jamais venue sur cette île de toute façon ^^. Elle vint coller un instant son corps nu contre celui de son capitaine, posant chastement une main à la hauteur de la hanche de l’homme alors qu’il l’embrassait.

Elle ne prolongea pas l’étreinte, se dérobant, féline pour fermer la porte de la salle, alors que l’homme allait déjà s’activer à la pompe. Le loquet de la porte était brisée. Les filles n’aimaient pas qu’une autre barre la porte pour se préparer et profiter ainsi trop longtemps de la salle d’eau. Le loquet avait finit par y passer et la patronne leur avait dit que c’était bien tempi pour elles maintenant. Elle regarda un instant le capitaine s’affairer à remplir la baignoire, ne résistant pas longtemps à son envie enfantin d’aller exacerber un peu les sens du capitaine. Elle passa derrière lui et chercha à le déconcentrer en jouant de ses doigts sur la peau luisante de son dos, suivant sa colonne jusqu’à la ligne de ses fesses, essayant de briser le rythme de travail de son capitaine.

Elle ne le laissa tranquille qu’une fois qu’il eut terminé, le temps qu’il entre dans l’eau. Elle ne se le fit pas ordonner deux fois pour le rejoindre, prenant sa main offerte avant de plonger ses jambes dans l’eau et, finalement, immerger son corps à son tour. Et aller blottir son corps contre celui du capitaine, sa main attrapant une éponge au passage. Elle la plongea dans l’eau pour l’en gorger et vint masser le torse et le ventre de l’homme. Elle arbora un petit sourire espiègle avant de plonger plus profondément l’éponge sous l’eau pour laver le sexe du capitaine dans une spongieuse caresse. Appliquée dans sa tâche de nettoyage, elle s’attarda un moment à ses bourses (faute de s’intéresser à sa bourse ^^) avant d’effectuer un mouvement de va-et-vient le long de sa verge pour bien déroger consciencieusement la saleté qui aurait voulut y trouver refuge.

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

Elle jouait avec son dos, ne le laissant guère faire le travail qu'il imagina être son rôle. Sans doute, était-ce elle d'habitude qui servait le bain à ses clients et non l'inverse. Pourtant la tâche ne l'embarrassa pas, perturbé par les chatouillis qu'elle s'évertuait de lui donner. Avec malice, elle titillait encore son corps au repos. Le mouvement répété de la pompe révéla quelques veines sur son biceps contracté alors qu'il faisait grand soin de ne pas tomber dans son petit jeu.

Le corps du capitaine étendu sur la courbe que formait la baignoire regarda la jeune fille soulever la jambe, dévoilant ses lèvres écarlates encore en émoi, lui redonnant encore sur le bout de la langue le goût de la liqueur aphrodisiaque qu'il avait cueillit à la fin de son désir. Il vit son corps disparaître dans l'eau avec une certaine déception qu'il relativisa en la sentant se coller à son corps. L'éponge glissa sur ses muscles sans qu'il ne vienne s'y opposer. Il était agréable de voir une femme s'occuper de lui. Chaque minute passée au caveau devait être dégusté car il repartirait en mer bientôt et dieu seul sait quand il pourrait revenir et si le dieu de l'Océan ou la garde Royale le lui permettrait encore.

Sergeï serra les dents alors que son fessier se souleva contracté et que sa propre main ne plonge vivement dans l'eau pour couvrir son sexe qui répondait déjà à ses caresses en venant durcir avec la témérité d'un roc. Il plongea les yeux dans les siens pour répondre à ce regard espiègle qu'elle lui avait lancé plus tôt, l'air de dire "tu sais ce que tu veux toi!". Sa virilité implorante se glissa entre ses doigts révélant un gland rosé qui écartait doucement la peau du prépuce alors qu'il remontait sa main contre son torse lui laissant un total libre-arbite... euh arbitre sur sa verge et le reste de son corps.

Quelques pas légers martelèrent le couloir alors qu'une des catins entra dans la salle de bains, le regard un instant posé sur le sol puis soudainement illuminé par ce qui se porta à son regard. Elle eut une moue gourmande.

_ Et bien, on ne se refuse rien à ce que je vois.

Elle resta quelques instants, plongeant un regard brillant dans celui d'Emilia et recula en venant fermer la porte.

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Elle gloussa d’un rire léger au regard que lui rendit le capitaine, venant encore le titiller de ses lèvres et de sa langue dans un nouveau baiser qu’elle ne se lassait pas d’aller chercher. Elle finit pourtant par quitter sa bouche pour venir parsemer son cou de petits baiser langoureux, ne lésinant pas sur l’utilisation de sa langue.

Pendant ce temps, sa main perdit malencontreusement l’éponge dans la baignoire… ^^ Elle n’essaya pas en vint de la retrouver pour ne pas perdre de temps pour une bagatelle, pour continuer de caresser lentement le sexe entre ses doigts, comme si elle cherchait à en apprécier chaque centimètres. Sa bouche s’arrêta a regret alors que ses lèvres s’amusait depuis un moment déjà à jouer avec l’un des mamelons à demi immergé de l’homme, lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir. Sa main n’arrêta pas son travail délicat de reconnaissance. Le dérangement n’en valait pas la peine.

Elle jeta brièvement un regard courroucé à l’intruse qui signifiait clairement, pour l’autre catin: «ben quoi? T’es jalouse» Qui amusa la Natasha plus qu’autre chose. Cette dernière resta quelques secondes encore pour l’agacer, mais finit par refermer la porte et Émilia oublia bien vite l’intrusion, car il y avait des choses beaucoup plus intéressante à faire ici que de pester contre le manque d’intimité.

Sa bouche avait bien envie de prendre la relève de sa main dans ses cajoleries. Peu désireuse de se noyer ( Razz

), elle prit de nouveau les bourses du capitaine dans sa main pour les pétrir doucement un moment avant de les soulever avec insistance pour inciter son capitaine à se lever dans la baignoire. Elle lui servit une petite moue suppliante pour lui faire comprendre son message non verbal, excité comme une gamine à l’idée de prendre ce bonbon entre ses lèvres. Elle avait encore envie de le sentir se mouvée entre ses jambes, mais son besoin de lui faire plaisir à lui était plus fort pour l’instant.

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

Le contact spongieux contre sa verge qui lui arrachait parfois quelques plaintes douloureuses mais néanmoins jouissives devînt soudainement plus doux. Il devinait de nouveau ses doigts s'affairant à lui donner une nouvelle fois l'extase mais l'ayant connu déjà quelques minutes plus tôt, il ne comptait pas se laisser jouir aussi vite et profiterait au maximum de la jeune fille. Il posa une main sur son dos, la caressant jusqu'à glisser ses doigts entre ses fesses, remontant jusqu'à sa nuque qu'il vînt enserrer alors qu'elle jouait avec son grain de peau.

Avec un tel travail exercé sur son sexe, Sergeï ne s'offusqua pas de l'irruption d'une des catins, qui pourtant resta un instant qui aurait pu être jugé plus long qu'il ne l'aurai dû. En voyant que la salle d'eau était occupé le bon sens aurait voulu qu'elle quitte immédiatement les lieux, au pire en murmurant quelques excuses mais non elle était resté là, à tailler (XD) une bavette. Qu'elle laisse travailler en paix celles qui n'avaient pas fini le leur! Sergeï n'avait eu qu'une crainte, c'est qu'elle s'arrête mais il pouvait se rassure car sa main ne quitta pas son sexe dont le gland apparaissait quelques millimètres sous la surface de l'eau. Enfin, elle ferma la porte. La laissant continuer sans préoccupation.

Le Capitaine ne répondit pas à ce regard même s'il en avait comprit le sens dès la première lueur dans ses yeux. Il se redressa dans le bain mais ne se leva pas comme elle pouvait l'espérer. Il posa les mains sur ses genoux et lui écarta les cuisses, la laissant deviner par ses yeux mutins qu'elle devrait être patiente. Si elle voulait goûter à son sexe, il faudrait attendre qu'il se soit servit au sien et la peur de la noyade ne l'effleura même pas, habitué à plonger en apnée lorsque une corde ou l'ancre se coinçait dans les bas-fonds.

Sa tête s'immergea plantant directement sa langue sur la peau volage. Tirant tour à tour sur les deux parcelles, sa langue entrant dans sa petite cavité brûlante, en effleurant les abords avec soin. Son nez effleura son petit bouton rose que sa bouche vînt cueillir le titillant avec acharnement, maintenant ses cuisses grandes ouvertes pour ne pas qu'elle l'empêche de la torturer avec langueur. Quelques bulles d'air s'échappèrent de sa bouche venant caresser son intimité avant d'éclater à la surface. Il ne réapparut pourtant pas tout de suite, continuant de laisser glisser sa langue partout où elle pouvait entrer. Sa tête commença son ascension, s'arrêtant prêt de son nombril pour en faire le tour puis sa chevelure ruisselante et son front apparurent, puis le reste de son visage qui monta jusqu'à ses seins. Ses mains vinrent les empoigner pour leur imposer la même torture que dans le lit mais cette fois-ci, elle pourrait toujours lutter pour qu'il arrête. Il alterna simplement de sein quand il trouva la pointe suffisamment gonflée.

Estimant qu'elle avait gagné le droit de se faire plaisir, il se leva. Sa verge toujours dure et désireuse vînt se coller toute droite contre son nombril, attendant qu'elle vienne la chercher.

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Émilia eut une petite moue déçue, voyant qu’il ne voulait pas se lever immédiatement, mais ses yeux brillèrent lorsqu’il lui écarta la cuisse. Elle fit mine de vouloir les resserrer, mais la ptite mégère s’était déjà montrée bien plus farouche et céda presque aussitôt. Elle poussa un léger gémissement en sentant sa langue se frayer un chemin dans son intimité. Elle se tortilla un instant sous le joug du plaisir mais les mains fermes qui tenaient ses jambes écartées l’empêchaient de trop bouger. Elle finit par se cambrer vers l’avant et se mordit l’index pour se calmer et éviter de gémir trop fort alors que le plaisir montait en elle. Son autre main s’accrocha à l’épaule de l’homme comme si elle espérait quand le tirant il arrêterait l’aguichante torture, espérant en même temps qu’il la continue encore un moment. Elle enfonça ses ongles dans sa peau sans s’en rendre vraiment compte. L’eau la rendait plus sensible encore, mais elle ne semblait pas prête à se laisser jouir aussi vite qu’au moment où il l’avait prise par surprise dans la chambre.
Elle sentit la langue quitter son entre jambe sans pourtant s’en sentir tranquilliser et son ventre s’agita de léger soubresaut alors qu’elle la sentait s’agiter autour de son nombril. Elle ne savait pas vraiment si elle avait le droit de trouver autant de plaisir dans son travail. Il y avait des filles qui disaient que c’était une bonne chose et d’autre non, mais elle se rassura en se disant que ce n’était quand même pas sa faute si le capitaine savait y faire.
Elle laissa ses mains jouer avec la pointe de ses seins et les sentit durcir rapidement à ce contact en geignant d’excitation. Ses mains libres, agrippèrent plutôt le visage de son capitaine pour l’embrasser fougueusement en collant ses lèvres brûlantes contre les siennes, comme une façon instinctive de le remercier. Plus tard (elle l’écrirait dans son journal XD) ce baiser l’agacerait un peu, mais elle ne s’en rendit pas compte sur le coup.
Elle relâcha son visage pour le laisser se lever, le visage brillant. Ses mains s’emparèrent délicatement de ses cuisses pour monter lentement vers l’extérieur de ses cuisses pour venir prendre les fesses musclées de son capitaine. Elle joua de sa langue sur la peau humide de sa cuisse alors que l’une de ses mains se dirigeait insidieusement vers son membre dressé et l’empoigner d’une main ferme.
Comme si de ce geste sa main venait de rappeler à sa bouche la présence de se trésor à… porté de main, elle s’arrêta pour venir effleurer du bout des lèvres le membre qui la narguait. Elle s’amusa à agacer son gland de coup de langue aérien, d’abord, et de plus en plus insistant, sans prendre pour autant le sexe dans sa bouche, dans un esprit vengeur, ses lèvres se contentant toujours de le frôler seulement comme un fruit interdit. Elle enfourna la bête entre ses lèvres et joua encore un moment de son gland avec sa langue en le gardant en bouche. Elle entreprit un mouvement de va-et-vient pour aller le chercher de plus en plus loin et prenant garde de tenir ses dents loin de sa prise pour ne pas l’effrayer et la voir s’enfuir! Hésitante à savoir si elle devait le garder en bouche et goutter de sa semence ou le libérer avant pour qu’il se loge un instant au creux de son ventre, elle décida que son capitaine saurait bien décider à sa place. Sinon il ne serait pas capitaine! (et toc!)

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

Elle le surprit de son baiser si... fougueux. Si brutal de désir. Si de ses gémissements, il ne pouvait pas vraiment prétendre en être la cause tant ces filles là savaient simuler, son baiser lui apparut tellement vrai. Il n'eut pas le temps de réagir à ce baiser qui l'avait pris si soudainement alors qu'il entreprenait de se lever.

Maintenant debout, il la laissa venir sans bouger, les mains languissantes le long du corps. Il tourna simplement le visage de côté en direction de son omoplate, rougit par des traces de griffes qui laissaient place à un très léger saignement intensifié par l'eau. Elle lui aurait au moins laissé un souvenir. Le soir, a chaque fois qu'il tournerait le visage vers son épaule dénudée, il verrait sa marque et penserait à elle.

Sa langue vînt jouer le long de sa cuisse, enserrant ses fesses qui se contractèrent fermement sous ses doigts laissant sentir l'ossature et sa musculature proéminente. Elle mit un temps fou à gober son gland dodu qui n'attendait que de vibrer sous les assauts de sa langue. Elle jouait tellement avec ses nerfs et son désir, qu'il s'en fallut de peu pour que, ne se contrôlant plus, il se saisisse lui-même de son visage pour plonger sa verge dans sa bouche. Mais le jeu était de bonne guerre, il l'avait titillé avec aplomb la faisant attendre après ce qu'elle désirait et elle se vengeait de cette façon. La lame entra enfin dans son fourreau. Le Capitaine laissa une plainte brisé par sa main qui cherchait un point d'appui, s'échapper alors que sa tête s'inclinait vers l'arrière. Il reprit contenance, ne perdant pas une miette du spectacle de cette rousse à genoux qui faisait disparaître de manières répétées son sexe dans sa bouche. Il vint accompagner le mouvement en posant ses mains contre ses tempes. Le désir faisant, comme dans la chambre, il vînt à lui imposer son propre rythme visitant le fond de sa gorge puisque sous ses coups de reins, l'intégralité de son tison pénétrait sa cavité buccale. Le silence du mouvement finit par être teinté de ses râles bestiaux. Il ne pouvait s'excuser de ses mouvements indélicats dans sa bouche tant il avait le diable au corps. Si son baiser avait été fougueux, on pouvait dire qu'il l'était là aussi.

Moins consciencieux peut-être par son sens du toucher aiguisé à l'extrême, il ne sentit pas sa limite atteinte. Son arme se déchargea subitement dans sa bouche, tirant toutes ses cartouches une à une. Une giclée de sang frappa son cerveau et il recula, un instant déboussolé une main venant s'appuyer sur le mur. Son ventre se gonfla et dégonfla à maintes reprises, il était épuisé de ces deux ébats alors qu'il arrivait à peine d'un voyage accablant. Il était épuisé mais bienheureux. Sa main glissa jusqu'à sa joue qu'il caressa avec toute la tendresse qu'un homme pouvait donner.

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Elle suivit son rythme brutale, une main tenant sa cuisse fermement pour mieux anticiper le coup de son arme au fond de sa gorge, se plaisant à le sentir perdre le contrôle de ses gestes. Elle se gorgeait toujours de ses râles, comme s’il s’agissait d’une divine musique. La bestialité de ses gestes et de sa voix satisfaisait mieux la catin que quelques piécettes d’or qu’elle avait oublié depuis longtemps. Elle sentit la semence remplir sa bouche et prendre le chemin de sa gorge comme un fin nectar, s’acquittant de donner à son ventre ce qu’il ne pouvait avoir autrement sans risquer de la rendre grosse. Elle le retint un moment encore de sa main toujours serrer sur sa cuisse lorsqu’elle le sentit reculer pour s’appliquer à laver soigneusement le gland de sa langue pour ne rien perdre de sa sève, avant de finalement le laisser reprendre son souffle.

La tendresse de sa main, contrastant avec la bestialité de l’instant d’avant qui faisait encore battre son cœur la chamade, la fit frissonner et ça n’avait rien à voir avec l’eau qui refroidissait lentement. Elle prit la main dans la sienne un moment, ses yeux verts plus brillants que jamais s’accrochant aux siens, y trouvant la sérénité de quelqu’un qui a été satisfait. Elle oublia alors, vraiment, les charbons glacials et le pincement qu’elle avait ressentit à cet instant pour remplacer un mauvais souvenir par celui-là qui la ferait rêver lors de ses courtes nuits de sommeils.

L’eau refroidit fut la cause de son second tremblement. L’ardeur passé elle se rendait compte que si elle n’avait pas souffert du froid avant c’était à cause de la chaleur de leurs propres corps. Elle demanda doucement, puisqu'il fallait bien qu'ils laissent la salle d'eau que d'autres auraient sûrement besoin d'utiliser à un moment (comme une certaine Natasha qui en entendrait parler le temps venu):

- Voulez-vous que je vous apporte vos vêtements?

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

Son second éclat marqua la fin du triste pacte commerciale. Il avait passé un moment intense qui n'avait pas été sans lui plaire sinon il n'aurait pas jouit par deux fois. Leur rencontre s'achevait là. Elle, se coucherait encore sous le poids d'autres hommes et lui, serrerait la barre de son bateau en imaginant des courbes de femmes en attendant le prochain arrimage à un autre port.

Quelques gouttes jaillirent encore sous le passage de sa langue alors que le prépuce commençait à revenir couvrir son gland, rendant à son sexe sa paresse habituelle. Il sortit de l'eau qui commençait à lui geler les jambes et attrapa un genre de tissu laissé là pour s'essuyer.

Son orgueil de savoir s'il était un bon amant aurait voulu lui demander comment il avait été mais la chose était peut-être déplacé. Il venait de la prendre par deux fois avec une certaine forme de bestialité pour son propre plaisir à lui et mise à part dans les coups de langues qu'il avait donné sur son délice rosé, il aurait été hypocrite de sa part de dire qu'il avait cherché à ce qu'elle y prenne autant de plaisir que lui. N'étant pas de ses hommes hypocrites, il s'abstînt de tout commentaire.

Il se contenta d'opiner de la tête pour la remercier de sa proposition. Face au miroir, il décrocha le tissu de ses cheveux en bataille pour venir les sécher et les coiffer de la main avant de finalement raccroché le tout tel qu'il le faisait d'habitude.

_ Tu serais bien aimable...hum

Il réalisa soudainement qu'il ne connaissait pas son nom. On l'appelait la petite mégère mais il trouva la chose si critique qu'il ne voulait pas faire de même. Peut-être serait-il le seul client à l'appeler par son prénom mais tant pis.

_ Comment t'appelles-tu, rouquine?

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Émilia sortit de l’eau à sa suite, attrapant un autre carré de tissu pour se sécher rapidement les jambes et les cheveux avant de l’enrouler autour de son corps dans un vêtement improvisé. Le geste pudique pouvait sembler ridicule après leurs ébats, mais elle avait idée qu’en sortant de la pièce y’aurait au moins une catin qui avait rien trouvé de mieux à faire que de venir lui lancer une boutade en chemin. Et pour la traiter de sale pute elle se sentait plus à l’aise de ne pas se promener dans les habits d’édène. Elle se dirigea vers la porte pour s’en aller chercher les vêtements du capitaine s’arrêtant avant que sa main ne touche la poignée de porte lorsqu’il lui demanda son nom. La question la fit sourire, ici on connaissait l’entrejambe d’une fille avant de savoir comment l’appeler. Au moins prenait on le temps de savoir comment l’appeler, cette fois-ci.

- J’mappel Émilia, mon capitaine.

Elle sortie après s’être demandé si elle devait lui demander le sien, mais avoir décidé que ça ne se demandait pas… Et qu’elle n’aurait glisser dans une conversation, au pire, avec Henri un truc à propos du capitaine et elle était sûr qu’il saurait lui sortir le nom dans la conversation. Henri adorait bavarder avec les clients pour savoir comment allait la mer et qui y voguait par les temps qui courraient. Elle croisa, sans surprise, Natasha qui sortait justement de sa chambre pour descendre… parfois les hasards! ¬¬ Avant de la laisser lui lancer une boutade salée elle lui colla une claque sur la joue.

-Salope! T’as rien d’autre à faire!

Elle aurait bien voulut ajouter une leçon sur le respect du travail des autres ou la menacer de rentrer dans sa chambre pour la déranger en plein milieu d’une partie de jambe en l’air pour lui demander si elle lui aurait pas piquer un corset dernièrement, mais elle n’ajouta rien, rentrant plutôt dans sa chambre pour aller chercher les vêtements du capitaine. Elle n’avait pas besoin d’avertir l’autre catin de rentrer dans sa chambre. Elle le ferait simplement le moment venu, quand l’autre aurait oublié la querelle. C’était enfantin, mais elle s’en fichait. Elle rentra dans la chambre et en voyant les vêtements éparpillés décida de laisser tomber Natasha pour l’instant pour plutôt rassembler les affaires de l’homme et ne pas le faire trop attendre. Elle viendrait s’habiller à son tour ensuite. Elle chercha un moment la chemise qu’elle trouva sus son jupon, attrapa le chapeau qu’elle mit sur sa tête parce qu’avec le reste elle serait assez charger, avant de s’emparer des bottes (ah mais tient! Elle se souvenait plus du moment où il les avait enlevé dans la précipitation des choses! XD), du pantalon, de la veste, de la ceinture et des armes.

Elle revint, après avoir lancer, acerbe, à une autre fille, que la salle d’eau était encore occupé, sans se soucier du fait qu’elle se promenait en serviette, les bras chargés, avec un chapeau de pirate sur la tête. Monica n’insista pas et ne fit pas de commentaire, bien que ses yeux parlèrent d’eux-mêmes. La porte se referma derrière elle et elle vint déposer les vêtements sur un meuble qui servait à ranger les serviettes et quelques draperies de rechange pour les chambres (quand il y en avait). Elle déposa le chapeau sur le tas de linge avant de demander.

- Avez-vous besoin d’autre chose?

Si elle parlait trop avant consommation, elle n’était pas très bavarde après. Elle avait déjà mainte fois plaint les femmes qui devaient, chaque soir, endurer le malaise du silence avec leur homme. Sa question en supposait une autre pourtant. C’est qu’elle ne pouvait pas s’éclipser dans sa chambre sans avoir régler la question de la note. Sa question brisa soudainement ce qui pouvait rester de charme si elle avait voulut éviter de penser au capitaine comme à un client.

Capitaine de La Rose Blanche Messages : 57 Date d'inscription : 24/06/2009

Emilia. Ainsi voilà le nom de celle avec qui il avait partagé la couche et le bain. Il la laissa partir, continuant d'essuyer son corps sous les mouvements du tissu contre sa peau. Ah! Que serait le monde sans les femmes! Il resta attentif à ce qui se passait dehors et à travers la porte de bois qui ne fermait pas bien comme il avait pu le constater auparavant, il entendit la voix de la jeune fille suivit d'un "slap" cinglant. Le bruit le laissa un instant surpris, ne sachant pas ce qui venait de se passer dans le couloir annexe.

Il resta encore quelques instants seul avant que la porte ne s'ouvre à nouveau et qu'Emilia n'entre, les bras chargés de ses effets volumineux. Peut-être aurait-il mieux valu qu'il aille lui même chercher ses vêtements mais il aurait échappé à cette vision très drôle de son tricorne trop grand lui tombant sur le devant de la tête. Il la remercia silencieusement avant de venir enfiler tour à tour son linge posé sur le range serviette. Une fois habillé, il ne pouvait que répondre négativement à sa question.

Sa main vînt cueillir son menton avant de venir saisir ses lèvres des siennes. Sa main glissa jusqu'à la sienne où il déposa les cinq pièces d'un or étincelant, fruit d'une récente prise, avant de mettre un terme à son baiser. Elle était désormais libre d'honorer un nouveau contrat.

La porte s'ouvrit. Et cette même catin qu'il avait vu plus tôt débarqua, nue comme un ver. La Putain n'avait pas apprécié la gifle qu'elle avait reçu et voulait puérilement se venger en venant narguer Emilia. Elle avait pressentie que si elle arrivait à mettre la main sur son beau Capitaine, elle aurait sa vengeance! Elle se glissa entre la rouquine et le Capitaine avec des excuses à peine crédible de s'être retrouvée là et effleura l'entrejambe de Sergeï comme si elle n'avait pas fait attention à la présence de sa main sur le tissu cachant son sexe. Appuyant plus fermement, arrachant un rictus douloureux au marin, elle se glissa dans l'eau, caressant la pointe de ses seins déjà dures avec le savon qui traînait sur le bord. Ah! Que serait le monde sans les femmes!

Sergeï avait déjà suffisamment donné pour aujourd'hui, il disparut dans le corridor et redescendit les marches de l'escalier pour rejoindre la taverne.

[Taverne >> bar]

Catin sur l'île de la Perdition Messages : 22 Date d'inscription : 11/07/2009

Elle se servit chastement à ses lèvres, un baiser qui pouvait bien être le dernier. Quel monde cruel! Elle tint un moment la main entre ses doigts avant de se refermer sur les pièces, mettant fin à ses obligations. L’autre Conne ne perdit pas de temps comme si du corridor elle avait entendue les pièces tomber comme l’annonce de la liberté du client.

Émilia n’eut pas besoin de se retourner pour savoir que c’était Natasha qui venait d’entrer et pas Monica. Elle connaissait assez leur tempérament respectif pour reconnaître l’affront. Mais les filles sont perfides, alors elle su feindre le détachement et chercha un moment dans le meuble si elle ne trouvait pas par hasard (~~un truc pour étouffer Natasha~~) une taie d’oreiller, alors que Natasha jouait de son... charme, sans qu'Émilia ne semble s'en émouvoir. Elle se retourna simplement vers lui, avant qu'il ne quitte la pièce pour lui dire sur un ton des plus charmants:

- Repassez quand vous voudrez, capitaine.

Elle se releva après un moment encore de recherche inutile, après avoir assuré que le capitaine était loin dans le corridor, et finit finalement par se retourner vers Natasha qui semblait trop heureuse de son coup. Émilia s’approcha du bain avec la rapidité d’une chatte qui fond sur sa proie et lui cala brutalement la tête sous l’eau… C’était le meilleur moyen de provoquer la catin et d’être sûr qu’elle continue de s’acharner. Sauf si elle la noyait là. Elle relâcha sa tête après quelques secondes. Mais lui attrapa les cheveux pour la forcer à la regarder, les yeux aillant perdu leur calme détachement. Sa voix ne se fit, cette fois, audible que pour la concerner, dans un murmure agressif:[/i]

- Si jamais j’apprend, sale pétasse, qu’il a attérit ton lit et même si tu es tout à fait innocente de la chose je te jure que je te fais coudre des couilles pour pouvoir te les arracher.

Elle la relâcha, toujours furieuse et recula, regrettant presque aussitôt le geste. C’était à peu près l’équivalent d’une provocation en duel chez les hommes. Sauf que les coups bas était permis. L’autre fille dut sentir qu’elle regrettait parce qu’un sourire pervers éclaira son visage qui s’essoufflait encore de la tentive de noyade.

- Ben quoi? T’es jalouse?

Avant de décider de la tuer pour de bond, Émilia décida de s’éclipser en claquant la porte brutalement. Elle n’était pas jalouse. Du tout. Aucunement et Vraiment pas. Elle n’avait jamais été jalouse d’abord. La question n’était pas là. Elle alla dans sa chambre pour aller se rajuster. Elle n’allait pas descendre en serviette et les yeux jetant des éclairs de colère! Des plans pour rendre la tâche plus facile à Natasha. Pourquoi les catins devaient-elle être des salopes?